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Les pensées négatives et les croyances

Photo du rédacteur: Agathe MonteleoneAgathe Monteleone

Dernière mise à jour : il y a 10 heures

  • Agathe M.Monteleone

  • 30 nov. 2019

  • 5 min de lecture





Toute la journée, des pensées traversent notre cerveau et parfois même y restent.

Nous appellerons « négatif » , se qui peut porter préjudice à notre vie et à son déroulement serein.

En gros ce qui peut nous empêcher de vivre ce que nous voulons voir dans notre vie.


La sélectivité :


lorsque je vie une situation, le fait que je focalise sur un ou des détails qui ne me plaisent pas, engendre un mal être, la sensation d’être dérangé. Un bruit , un visage qui nous est désagréable, une odeur inconfortable, un comportement inapproprié.

Je pars de l’idée que Ce sur quoi je porte mon ATTENTION, je le fais grandir dans ma vie.

si ces pensées négatives emplissent la tête, un malaise se déroule et empêche tout autre ressenti. Les idées peuvent même tourner en boucle et se changer en émotions désagréables, ( colère, tristesse, frustration……). Rien n’est donc réellement ressenti de la nature du moment qui est en train de se dérouler, ni de sa teneur.


Il est pourtant bien plus confortable de ne pas faire focus sur ces détails qui nous gênent mais plutôt sur ce qui nous convient dans cette situation. Je laisse donc ce qui me dérange passer au travers de moi, sans le retenir. Je ne le garde pas. J’ai le choix.


Pour palier à ces interférences de mon mental ,disons, distordu, Je me détend .

j’utilise par exemple la cohérence cardiaque ; je respire profondément et je focalise plutôt mon attention sur la réalité de l’instant, je ressent beaucoup mieux ce qui se passe, je suis revenu à l’intérieur de moi. Je m’ouvre à toute éventualité, et je garde ainsi toutes mes facultés et tous mes ressentis pour me concentrer sur autre chose qui m'appelle sur l'instant.


Chaque chose que je garde en moi parce qu’elle m’est agréable ou qu’elle me parle,, chaque lumière qui s’éclaire dans mon corps et dans mon cœur ou dans ma tête , me donne la satisfaction et la richesse dont je me construit.


Chacun de mes ressenti, me donne des informations sur moi même et qui je suis. J’apprend

En vivant l’instant dans toute sa réalité.





La dramatisation ou minimisation :


Lorsque je n’ai pas atteint un objectif, ou bien que je perd à un jeu, si j’ai tendance à focaliser sur mes propres lacunes ou sur mes échecs. Ou bien que je minimise mes réussites, que je n’en suis pas satisfait , je fais baisser l’estime que j’ai de moi même et j’ancre la croyance que je n’ai pas de valeur. Ainsi, je me dévalorise.

Le même principe s’applique quand au jugement que je vais porter sur une personne. Si ces pensées déviantes sont là, je la dévalorise de même.


Pour aller vers le mieux, je suis toujours fier de ce que j’ai fais, de ce que j’ai réussi ou pas , car j’ai participé. Je remercie les circonstances qui m’ont permis de vivre cela.





Je sais aussi soutenir une personne en ne minimisant pas ses efforts et ses actions. Je ne dramatise pas non plus ses ratés et ses actes manqués.

L’estime que je me porte à moi même je n’oublie pas de l’envoyer aussi vers les autres, au travers du respect que j’ai pour eux notamment et de l’attente d’aucun resultat .

Je m’Aime infiniment , et je prend soin de moi.


Cela me concerne :


lorsque j’ai la pensées distordue que ce qui se passe à l’extérieur de moi, ce qui s’y dit, est dirigé contre moi , est fait pour moi ou existe à cause de moi. J’ai la croyance que je suis la cible d’une phrase , d’un fait ou d’une action.

Cette croyance rémanente peut induire des émotions désagréables , voir toxiques.

Je me sent coupable, ou bien punissable, et je donne à l’extérieur de moi le pouvoir de m’amoindrir et de me dévaloriser. Ces pensées peuvent alors induire des peurs et des angoisses, voir une forme de paranoïa

.

Pour mieux vivre ma réalité , je comprend que je ne suis coupable de rien de ce qui se fait à l’extérieur de moi, ce n’est pas de mon fait. Par exemple , je ne suis pas l’objet réel d’une insulte, d’un jugement porté ou d’un blâme même s’il m’est adressé. Je ne suis pas concerné par le comportement ou les actes d’une personne.

Celui qui commet l’acte ou dit la phrase est le premier et le seul concerné par ce qui lui appartient , par sa création.


pareil pour un fait climatique, naturel ou paraissant être une coïncidence, nous ne pouvons en être la cible et je n’ai donc pas à en porter la responsabilité.

Ce qui se passe à l’extérieur de moi, me donne des informations sur la nature de ce qui m’entoure.

Quoi qu’il arrive donc,

je n’en fais pas une affaire personnelle.


Le blâme :


C’est la tendance à considérer les autres comme responsables des émotions que je ressent. Où je puis en venir à blâmer et reprocher à l’autre le déclenchement de ces émotions en moi.

Lorsque on sait qu’une émotion est la pour nous donner une indication sur ce que nous avons à guérir en nous , on peut considérer ce travers comme de la mauvaise foi.

Cette pensées déviante et distordue du mental m’empêchera d’autant de ressentir la véritable raison de cette émotion, ce à quoi elle me ramène en moi.

Une personne ne peut être la cause de mon propre malaise par un acte ou une phrase, même pas par sa vibration.

Lorsque cela arrive, je me recentre en respirant profondément, je reviens à l’interieur de moi, et je ressens de quoi et où ça me parle.


Je n’accuses pas et je ne blâme pas non plus. Je suis seul responsable de mes ressentis, à tel point que je puis même choisir , encore une fois ce que je veux ressentir, et qui je veux être à ce moment là.

M’enrichir et vivre pleinement , ma condition d’humain voudrait que j’utilise mon énergie à ressentir mon corps dans ces moments là, que je me construise et que mon attention se focalise sur :

où me mène cette émotion que je ressent et que je laisse me traverser sans la stocker.


J’exprime toujours une émotion forte sans en blâmer les autres , je l’exprime au mieux vers le vide.

La liste de ces déviances du mental n’est pas exhaustive. Un autre post en suivant peut permettre de mieux les détecter dans leur ensemble.


Les pensées négatives ne nous font pas évoluer, mais , vous l’aurez compris , plutôt nous contractent. Il est important de les gérer. Nos pensées créent notre forme et notre état.

Les lois de l’Univers nous renvoient nos pensées sous forme de réalité.

En d’autres termes

, je tisse ma vie sur la trame de mes pensées.

Je construit ma trame pour tisser ce que je veux vivre.


Tout ce qui vous reste à vivre devant vous pour vous exercer dans la joie. Votre trame


Agathe M.













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